Alain Landy nous présente son dernier roman “Main Blanche” dont une grande partie de l’action se passe dans la région de Saoû où il a vécu de nombreuses années.
La symbolique du roman
Les Clés…par l’auteur.
Nom de plume Aladyn : à la fois l’anagramme de A Landy mais, en plus pour moi, la lecture et l’écriture sont deux lampes merveilleuses qui ont éclairé mon chemin de vie et m’ont soigné de bien des maux. D’où mon combat incessant pour que les enfants lisent… A ce sujet, je poursuis actuellement un projet avec la ville de Cayenne “Lire et débattre font grandir”
L’arbre de vie : une moitié arbre de la forêt guyanaise, l’autre moitié arbre de la forêt de Saoû
Le prénom du Héros : Daniel c’est l’anagramme phonétique de LANDY (landie) car le héros c’est un peu moi, mais pas complétement moi.
Lambert le nom que je portais dans une pièce lorsque je faisais du théâtre amateur. J’avais même écrit une pièce « Derrière la porte » ou l’illustration des sept péchés capitaux…
Beaucoup de personnages ont naturellement existé (comme pour tous les auteurs)
Certains m’ont plus marqué que d’autre :
Chaussat Franck : l’un de mes meilleurs amis qui mit fin à ses jours autour de sa quarantième année.
Villeneuve : Un ami chercheur Irlandais marié avec une Anglaise (La tolérance déjà) de son vrai nom Maloney et de surnom Newton (Newtown) donné par ses amis de Silicon Valley où il avait travaillé. Souvenir de soirées de discussion oniriques en « franglais » autour d’un verre de vin Français… Il adorait la France et l’Europe… le Break seat l’a beaucoup désespéré.
Et puis, par le biais de l’écriture, j’ai pu faire disparaître des êtres qui m’avait fait souffrir, ou qui avaient fait souffrir des êtres que j’aime : mais cela relève de l’intime et l’intime partagé relève pour moi de l’exhibition malsaine…